vendredi 31 juillet 2015

Le Zimbabwe demande l'extradition du tueur du lion Cecil.

Le chasseur et dentiste américain Walter Parlmer est dans la tourmente après avoir tué le lion qui était devenu une star nationale dans ce pays: après une enquête américaine, il est maintenant visé par une demande d'extradition.

Sa partie de chasse risque bien de lui coûter beaucoup plus cher que prévu. Le Zimbabwe a demandé ce vendredi l'extradition du chasseur américain et riche dentiste du Minnesota qui a tué le lion Cecil, spécimen protégé et attraction vedette de la grande réserve animalière de Hwange. 
"Nous demandons aux autorités compétentes son extradition, a expliqué le ministre de l'Environnement, pour qu'il puisse être jugé pour les infractions qu'il a commises." Oppah Muchinguria a regretté lors d'un point presse qu'il n'ait pas pu être déjà appréhendé car "il s'était déjà évaporé vers son pays d'origine" quand le scandale a éclaté. 

Une enquête aux Etats-Unis

Le dentiste Walter Palmer, dont la page Facebook et le site internet du cabinet dentaire -fermé- étaient déjà indisponibles mercredi, restait terré jeudi. Une enquête a été ouverte par les autorités américaines de protection de la faune.
Source: lexpress.fr

jeudi 30 juillet 2015

C"est officiel: l'international congolais Chancel Mbemba signe pour 5 ans au Newcastle.

L'international congolais Chancel Mbemba n'est plus sociétaire de l'équipe d'Anderlecht en Belgique car son transfert au club anglais de Newcastle vient d'être officialisé. Il y évoluera pendant les prochaines cinq années. 
Le championnat anglais faisant partie des meilleurs championnats européens, Chancel pourra rehaussé son niveau de jeu et en faire  profiter à l'équipe nationale congolaise qui est devant des nouveaux challenge à savoir, les éliminatoires de la can 2017 au Gabon et de la coupe du monde 2018 en Russie. 
Nous lui souhaitons beaucoup de réussite dans son nouveau club.

Kinshasa People Show!

La RDC réceptionne le premier Airbus A 320 de Congo Airways.

L’arrivée de l’Airbus A 320 de la compagnie aérienne Congo Airways à Kinshasa le 30/07/2015. Radio Okapi/Ph. John BompengoL’arrivée de l’Airbus A 320 de la compagnie aérienne Congo Airways à Kinshasa le 30/07/2015. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Le Premier ministre de la RDC, Augustin Matata Ponyo a réceptionné jeudi 30 juillet à l’aéroport international de Kinshasa un Airbus A320 destiné à Congo Airways, sa compagnie aérienne nationale, en gestation. 
“C’est une grande fierté pour tous les Congolais”, a déclaré à la Radio-Télévision Nationale Congolaise (RTNC) Louise Mayuma Kassende, présidente du conseil d’administration de Congo Airways.
Le directeur général de la compagnie aérienne Congo Airways, Claude Kirongozi Ichalanga à Kinshasa, le 30/07/2015 lors de l’arrivée de l’Airbus A320. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
L’Airbus A320 de la compagnie aérienne Congo Airways à Kinshasa le 30/07/2015. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
L’Airbus A320 de la compagnie aérienne Congo Airways à Kinshasa le 30/07/2015. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
L’arrivée de l’Airbus A 320 de la compagnie aérienne Congo Airways à Kinshasa le 30/07/2015. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Le Premier ministre congolais, Matata Mponyo Mapon à l’aéroport internationale de Ndjili à Kinshasa, le 30/07/2015 lors de l’arrivée de l’Airbus de la compagnie aérienne Congo Airways. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Dans l’Airbus A320 de la compagnie aérienne Congo Airways à Kinshasa le 30/07/2015. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
L’Airbus A320 de la compagnie aérienne Congo Airways à Kinshasa le 30/07/2015. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Les autorités congolaises à l’aéroport international de Ndjili à Kinshasa, le 30/07/2015 lors de l’arrivée de l’Airbus A 320 de la compagnie aérienne congolaise, Congo Airways. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
L’arrivée de l’Airbus A 320 de la compagnie aérienne Congo Airways à Kinshasa le 30/07/2015. Radio Okapi/Ph. John Bompengo
Cet appareil, baptisé Patrice-Eméry Lumumba, nom du premier Premier ministre du Congo lors de son accession à l’indépendance, s’est posé à 12H15 (11H15 GMT) à l’aéroport en présence plusieurs hauts responsables.
L’avion devait à l’origine arriver le 30 juin, jour de la fête d’indépendance de l’ancienne colonie belge, mais la compagnie a choisi de reporter la date pour que l’avion puisse arriver aux couleurs du pays. Selon Mme Mayuma Kassende, un deuxième A320 doit se poser le 25 août.
Les deux appareils ont été achetés d’occasion à la compagnie italienne Alitalia, pour quelque 50 millions de dollars, selon des sources proches de la transaction.
La direction de Congo Airways, auprès de laquelle la compagnie française Air France est engagée par un contrat d’assistance technique, a été formellement installée au premier trimestre 2015.
Les autorités congolaises ambitionnent de démarrer son activité courant août, qui devrait desservir dans un premier temps, avec deux A320 et un appareil Bombardier plus petit, huit villes de la RDC, dont Goma (est) et Kinshasa.
Grande comme quatre fois la France, la République démocratique du Congo est actuellement dépourvue de compagnie aérienne nationale.
L’essentiel du trafic aérien est assuré par des vols affrétés par la Mission de l’ONU au Congo (Monusco) ou le Programme alimentaire mondial (PAM), ainsi que par deux compagnies locales, CAA et Korongo, toutes deux sur la liste noire des compagnies aériennes établies par l’UE – comme la cinquantaine de compagnies enregistrées dans le pays et dont la plupart n’assurent plus de vols.
Le développement de Congo Airways doit s’accompagner d’une remise à niveau des infrastructures de transport aérien. Fin juin, le président Joseph Kabila avait inauguré la nouvelle aérogare et la nouvelle tour de contrôle censées améliorer la sécurité aérienne et l’accueil des passagers à l’aéroport international de Kinshasa.
Avec l’AFP

RDC: Lambert Mende sur la question de l'homosexualité (Juillet 2015)

Gaza, Baalbeck, Tombouctou... La résistance par l’art

Athoms & Nadege - PONA BOLAMU

mercredi 29 juillet 2015

Kiku Debuck dans LEZINTERVIEW de Jean Pierre Lezi

Kinshasa Fashion Week 2015, Soirée Mode Congolaise

Rd congo, Forte croissance du secteur de la téléphonie mobile

Séries d’été : Football, Joseph Kibonge, seigneur du Zaïre.

Kibonge Mafu
Pilier de la grande équipe des Léopards du Zaïre, Joseph (« Jeff ») Kibonge Mafu y a gagné un surnom, Gento, et un titre de noblesse footballistique : Seigneur. Seigneur Kibonge, ou Seigneur Gento, a fêté ses 70 printemps en cette année 2015. Mondafrique rend un hommage mérité à ce grand milieu (très) offensif. Joseph Kibonge Mafu vient au monde le 12 février 1945 à l’hôpital général de Leopoldville, future Kinshasa, dans ce qui est encore le Congo belge. Il grandit dans le quartier de Kasa-Vubu, en plein cœur de la cité, avant d’aller avec ses parents s’installer quelques années à Bukavu (alors Costermansville), dans la province du Sud-Kivu. De retour à Kinshasa, le jeune adolescent, bon élève, se fait aussi remarquer pour ses talents de footballeur. Il intègre l’équipe de V Sport, bientôt radiée, puis se fait recruter par l’Association sportive Vita Club. Fondée en 1935 et basée à l’origine dans le quartier de Kananga, cette équipe est déjà l’une des plus prestigieuses et titrées d’une ville qui vibre pour le football.
La star de V Club
Milieu offensif mobile et inspiré, capable d’évoluer sur tout le front de l’attaque, Joseph Kibonge, désigné footballeur de l’année 1965, réussit des débuts prolifiques sous la tunique des « Dauphins Noirs », ainsi que l’on surnomme les joueurs de « V Club ». De dauphins, Kibonge et ses compères de l’attaque, Kembo, Mayaula et Makanga, se muent en requins dès qu’ils pénètrent sur une pelouse. Avec sa redoutable escouade offensive, Kibonge va conduire son équipe vers plusieurs titres nationaux à compter du début de la décennie soixante-dix. 1970, 1971, 1972, 1973 : les années se suivent et se ressemblent pour Joseph Kibonge et ses coéquipiers, sacrés champions du Zaïre avec l’implacable régularité d’un métronome.
Egalement représenté dans les Coupes africaines par le Tout Puissant Mazembe Englebert, équipe de Lubumbashi, le football zaïrois domine l’Afrique au tournant des années 1960-1970. En raison de son charisme, de son talent et de son caractère, Joseph Kibonge, déjà capitaine de l’AS Vita Club, devient le détenteur du brassard des Simba (Lions). Dès 1965, l’année de ses grands débuts, le jeune homme dispute sa première phase finale de Coupe d’Afrique des Nations, en Tunisie. Le « Congo Léopoldville », repêché, perd ses deux matchs, faute d’expérience. Mais, on le verra, Joseph Kibonge et les joueurs du sélectionneur Trouet Mokuna sauront en tirer les conséquences.
Tombeur du roi Pelé
Conscient du potentiel promotionnel du football pour la jeune nation congolaise, le chef de l’Etat, le maréchal Mobutu Sese Seko, s’efforce de placer Kinshasa sur la carte des grands événements sportifs. Et l’homme à la coiffe en peau de léopard, qui décidera ensuite que l’équipe nationale serait désormais surnommée « Les Léopards », et non plus les « Simba », ne fait pas les choses à moitié. Un beau jour de 1968, l’équipe de Santos, avec en ses rangs le roi Pelé, meilleur footballeur du moment (et peut-être de tous les temps), pose ses valises à Kinshasa. Au programme, une rencontre de préparation, au stade Tata Raphaël (théâtre quelques années plus tard du « rumble in the jungle », le combat de boxe « du siècle » entre Mohammed Ali et George Foreman), contre les Léopards du capitaine Joseph Kibonge. Ce jour-là, le « capi » contribue à la victoire de son équipe (3-2), en suppléant son gardien Kazadi, battu sur un coup franc de… Pelé.
Prestigieux, ce succès surprend moins dans la mesure où, quelques mois auparavant, Kibonge et ses coéquipiers ont gagné en Ethiopie leur première Coupe d’Afrique, en remportant tous leurs matchs, dont la finale face aux Black Stars du Ghana (1-0). Le jeu de tête surpuissant de Joseph Kibonge, son dribble dévastateur et son coup d’œil sûr en font un des hommes de base de ce triomphe continental qui en appelle d’autres. Déjà adopté par ses compatriotes, notre héros du jour sera adoubé par le roi Pelé, posant avec lui pour la postérité après avoir échangé les fanions. De quoi lui donner des ailes et le pousser vers la consécration continentale, en club comme en équipe nationale.
L’accolade de Mobutu
Avec V Club, le numéro un zaïrois incontesté du début des années 1970, Joseph Kibonge goûte enfin aux joies de la victoire en Coupe des clubs champions africains fin 1973, quand les Kinois viennent à bout des Ghanéens de l’Asante Kotoko (2-4, 3-0) en matchs aller et retour. Pas le temps de savourer ce sacre aux yeux de l’Afrique : les Léopards sont qualifiés pour la CAN 1974 qu’ils se sont juré de ramener au pays, près de six ans après leur première victoire. En Egypte, les Léopards sont au rendez-vous et se fraient un passage jusqu’en finale, en sortant le pays organisateur. Soucieux de rattraper le temps perdu après avoir manqué l’édition 1972 sur suspension, Joseph Kibonge soulève le trophée, après avoir dû rejouer la finale face à la Zambie (2-0), un premier match s’étant soldé par un score de parité. Fier de ses joueurs, Mobutu envoie l’avion présidentiel au Caire. Au retour des héros, Joseph Kibonge remet le trophée au chef de l’Etat. Ce dernier ne quitte plus son équipe nationale : dans quelques mois, elle sera en Allemagne la première nation d’Afrique noire à prendre part à une phase finale de Coupe du monde.
La leçon sera douloureuse pour le Zaïre, tombé dans une poule très difficile avec le Brésil et deux bonnes équipes européennes, la Yougoslavie et l’Ecosse. « Nous sommes allées à la Coupe du monde comme de simples amateurs, venus d’un pays d’Afrique noire. On pensait juste à jouer notre football, comme on savait le faire. Or le niveau était différent », racontait Joseph Kibonge sur les ondes de Radio Okapi en 2009. Et pourtant, le régime Mobutu n’avait pas lésiné sur les moyens, en débauchant Blagoja Vidinic, le technicien yougoslave qui avait mené le Maroc quatre ans auparavant au Mexique. Malgré un mois de préparation studieuse en Suisse, les Léopards sont loin du compte pour leur entrée en lice, qui les voit néanmoins limiter la casse face à l’Ecosse (2-0). « Au milieu de terrain, contre l’Ecosse on a tenu le choc, malgré la défaite ce n’était pas décevant », dira Kibonge.
Le naufrage face aux Yougoslaves
Le pire est à venir. Il va se dérouler aux yeux du monde, en marge du deuxième match, contre la Yougoslavie. Mécontents de ne pas voir leurs primes versées dans les temps, les Léopards menacent de ne pas jouer. C’est dans une tension extrême que se prépare cette rencontre. Bilan : des Zaïrois absents, au figuré – ils errent sur le terrain – comme au propre, pour Joseph Kibonge, écarté par Vidinic et une défaite (9-0) parmi les plus cuisantes de l’histoire de la compétition. Le troisième match verra les Léopards limiter la casse face à un petit Brésil (3-0), mais le cœur n’y est plus. L’ingratitude du régime Mobutu sera à la hauteur de la déception. Interrogé sur ces heures difficiles, Joseph Kibonge les évoque sans amertume ni sans langue de bois : « L’entraîneur, paix à son âme, nous avait menti sur la Yougoslavie, en nous disant que les joueurs étaient petits de taille et ne savaient pas jouer au football. On s’est retrouvés contre des grands, de 2 mètres, et bons footballeurs… On ne pouvait rien faire. »
Pour « Seigneur Gento » comme pour ses coéquipiers, une ère faste vient de s’achever. Le football du Zaïre rentre dans le rang. Notre héros du jour termine paisiblement sa carrière à l’AS Vita Club, gagnant encore trois titres de champion avant de raccrocher les crampons en 1980. Retiré des affaires du football, il reste un observateur attentif des Léopards, revenus sur le devant de la scène africaine depuis la fin des années 2000, avec une victoire au Championnat d’Afrique des Nations (la CAN des joueurs locaux) en 2009 et une place sur la troisième marche du podium lors de la CAN 2015.
L’avis de Kisaki Wa Mukusa, fondateur de leopardsfoot.com
« Joseph Kibonge dit « Gento » fait partid de ces exceptionnels joueurs zaïrois qui ont eu la chance et la malchance d’appartenir à cette génération 74. Chance, parce qu’à cette époque et bien plus qu’aujourd’hui, la sélection des Léopards du Zaïre était une priorité nationale, pour ne pas dire une affaire personnelle du Maréchal Mobutu, ce qui leur a valu de bénéficier de toutes les attentions présidentielles. Malchance, parce que loin des conditions du football actuel et de la médiatisation que connaissent les footballeurs de cette trempe aujourd’hui, Jeff Kibonge, comme tous les autres de cette génération d’ailleurs, auraient pu connaître une meilleure fin de carrière au lendemain de ce Mondial 74 qui les a tous plongés dans l’anonymat. »
Patrick Julliard
Source: Mondafrique du 29/7/2015

Ghana : un homme écope de dix ans de prison pour avoir voulu « tuer » le président.

Le président du Ghana John Dramani Mahama délivre un discours lors de l'Ecowas, le 20 avril 2015 à Lomé au Togo. © Issouf Sanogo/AFP
La justice ghanéenne a condamné mardi un homme à dix ans de prison après qu'il a été arrêté armé dans une église fréquentée par le président du Ghana, John Dramani Mahama, qu'il a dit vouloir assassiner. L'homme de 36 ans, inconnu du public, n'a jamais joué aucun rôle sur la scène politique.
Charles Antwi, 36 ans, a été arrêté dimanche en possession d’un pistolet dans une église fréquentée habituellement par le président John Dramani Mahama et sa famille. « Je voulais tuer le président Mahama pour prendre sa place », a-t-il affirmé, mardi 28 juillet, devant un tribunal d’Accra. La famille présidentielle était absente lors de l’incident.
L’homme, dont l’état de santé mentale semble perturbé, a été arrêté pour son « comportement agité et suspect » pendant l’office du matin, a indiqué Edward Omane Boamah, un porte-parole du gouvernement.
Il a écopé de dix ans de prison pour possession illégale d’armes.
« Essayer de tuer le président était un moyen de me battre pour la nation »
Les déclarations du prévenus n’ont pas manqué de surprendre l’assistance puisque cet homme n’a jamais joué un rôle sur la scène politique ghanéenne.
« Essayer de tuer le président était un moyen de me battre pour la nation. Je devais être investi président quand le président John Evans Atta-Mills est mort » en juillet 2012, a-t-il lancé.
Devant le tribunal, Charles Antwi a expliqué la façon dont il avait trouvé l’église fréquentée par le président Mahama. « Un militaire au Fort Osu (siège de la présidence) m’a indiqué l’église du président », a-t-il dit. Il a aussi affirmé que l’arme qu’il détenait lui avait été fournie par un Burkinabè, sans donner plus de détails.
 Source: Jeune Afrique.

mardi 28 juillet 2015

Les actions de grâces au Seigneur SAINT-ESPRIT

Mode : les tendances de l’été

Chef africain, Loïc Dablé veut rendre la cuisine africaine sexy et acces...

AEROPORT DE N'DJILI | L'avis des usagers venus de France et de Belgique

Vodacom Best Of The Best 2 Prime 11 Part 4

Vodacom Best Of The Best 2 Prime 11 Part 3

Vodacom Best Of The Best 2 Prime 11 Part 2

Vodacom Best Of The Best 2 Prime 11 Part 1

Football : avec l’Impact de Montréal, Drogba relève le défi du championnat nord-américain


L'Ivoirien Didier Drogba a choisi l'Impact de Montréal afin de poursuivre sa carrière, après avoir quitté Chelsea en mai dernier. Le buteur de 37 ans quitte les pelouses européennes qu'il connaît par cœur pour le championnat nord-américain.
« C’est un moment historique » pour le club de la métropole québécoise avec l’arrivée d’« un joueur international que le monde connaît et qui a choisi Montréal », a déclaré Nick de Santis, le responsable du recrutement de l’Impact. Drogba a conclu, lundi 27 juillet, un accord avec le club dont le montant n’a pas été dévoilé.
« C’est un honneur d’accueillir Didier Drogba avec l’Impact. Dès la première conversation que j’ai eue avec lui, j’ai senti qu’il voulait vraiment jouer à Montréal. C’est un grand jour dans l’histoire du club et son arrivée avec nous sera bénéfique à tous les niveaux », a déclaré Joey Saputo, le président et propriétaire de l’Impact.
Fin mai, le buteur de 37 ans avait annoncé qu’il quitterait les Blues de Chelsea à la fin de la saison et qu’il entendait jouer encore un an au moins dans un autre club avant de prendre sa retraite.
Drogba en tête de liste du Chicago Fire
L’intérêt de Didier Drogba pour Montréal avait fuité dans la presse locale au cours des derniers jours. Cependant, son transfert se heurtait à des règles du championnat nord-américain donnant la priorité au club Chicago Fire, qui avait placé le buteur ivoirien comme premier joueur sur sa liste.
Le club de Montréal a donc dû payer des indemnités, un « montant d’allocation » substantiel qui n’a pas été précisé.
La saison n’est pas terminée
Les débuts officiels de l’attaquant ivoirien sous les couleurs du club montréalais dépendent aussi de la réception de son certificat de transfert international (ITC) et de son permis de travail canadien.
Au Canada et aux États-Unis, le championnat a déjà repris. Il reste encore 16 matches à jouer d’ici le début de la saison régulière et des playoffs. « Il a réalisé ce que nous sommes en train de faire, que l’on a besoin d’aide pour faire grandir le club, et je pense que pour lui, c’est excitant de se dire qu’il va nous aider, pas seulement sur le terrain, mais aussi en transmettant toutes les expériences qu’il a vécues au niveau international », a ajouté Nick de Santis.
L’Impact de Montréal est finaliste cette année de la Ligue des Champions de la Confédération de football d’Amérique du Nord, d’Amérique centrale et des Caraïbes (Concacaf). Le club québécois se classe au sixième rang sur dix du classement de la conférence Est du Championnat nord-américain de football.
Source: Jeune Afrique

lundi 27 juillet 2015

RD CONGO – A la découverte de la 3ème édition de la Kinshasa Fashion Week

Mort de la fille de Whitney Houston, Bobbi Kristina Brown.

La jeune femme avait été trouvée inconsciente dans sa baignoire le 31 janvier à son domicile d’Atlanta (Géorgie).
La jeune femme avait été trouvée inconsciente dans sa baignoire le 31 janvier à son domicile d’Atlanta (Géorgie). DAN STEINBERG / AP


Plus de trois ans après la disparition de sa mère, Bobbi Kristina Brown, fille unique de la légende de la pop music Whitney Houston et du chanteur Bobby Brown, est morte dimanche à l’âge de 22 ans, dans un hôpital à Duluth, en Géorgie. « Elle repose enfin en paix dans les bras du Seigneur, a déclaré la famille dans un communiqué. Nous voulons une nouvelle fois remercier les gens pour leur formidable témoignage d’amour et leur soutien pendant ces derniers mois. »

La jeune femme avait été trouvée inconsciente dans sa baignoire le 31 janvier à son domicile d’Atlanta (Géorgie). Elle avait été ranimée par des équipes d’urgence mais avait perdu une partie importante de ses fonctions cérébrales et était restée dans le coma. Selon le site d’information sur les célébrités TMZ, elle est morte après que la famille a décidé l’arrêt de tous les traitements médicamenteux.

De nombreux fans ont posté des messages de soutien à la famille sur Twitter. « Enfin en paix ! », a notamment tweeté l’animatrice et productrice de télévision Oprah Winfrey.

Après le divorce de ses parents en 2007, la jeune fille avait été confiée à la garde de sa mère. Toutes deux étaient extrêmement proches, et Bobbi accompagnait souvent la chanteuse lors de concerts ou à des cérémonies.

Sa mort serait liée à une overdose, selon une source citée par Entertainment Tonight, émission de télévision américaine spécialisée dans les nouvelles mondaines. Elle rappelle étrangement celle de sa mère, trouvée morte dans une baignoire dans un hôtel de Los Angeles le 11 février 2012, la veille de la cérémonie des Grammy Awards, victime, selon le légiste, d’une overdose d’alcool et de drogues qu’il l’aurait conduite à se noyer.

En février, des médias américains ont annoncé que la police avait ouvert une enquête sur l’ami de Bobby Kristina Brown, Nick Gordon, qui aurait déclaré l’avoir découverte inconsciente dans sa baignoire. Selon ces médias, la jeune femme aurait subi des blessures d’origine indéterminée avant de perdre connaissance.

Source: lemonde.fr

Eliminatoires- Mondial (F) : la RDC qualifiée pour le second tour.

Les Léopards dames U20 se sont qualifiées pour le second tour des éliminatoires du Mondial- Papouasie Nouvelle- Guinée 2016, après avoir battu les Braves Warriors de la Namibie dans un score accumulé de 5-0. Les Congolaises se sont imposées par 1-0 ce dimanche 26 juillet à Windhoek grâce à Joëlle Mwadi (64′), après l’écrasante victoire de 4-0 deux semaines  avant au stade Tata Raphaël de Kinshasa, en match aller du premier tour de ces éliminatoires.
La délégation congolaise composée de 32 personnes dont 20 joueuses, regagne Kinshasa mardi 28 juillet.
Les Congolaises auront deux mois de préparation avant de recevoir les Nigérianes le week-end du 25, 26, 27 septembre à Kinshasa pour le match aller du second tour de ces éliminatoires.
Les autres confrontations se présentent comme suit :
- Burkina Faso- Ethiopie
- Guinée Equatoriale- Ghana
-Zambie- Afrique du sud
Le dernier tour qualificatif interviendra à la fin du mois d’octobre et à terme, deux pays représenteront le continent à ce mondial féminin de moins de 20 ans.
Source: radiookapi.net

Lubumbashi: inauguration de l’aéroport rénové de la Loano.

Le chef de l’Etat Joseph Kabila a  inauguré, samedi 25 juillet, l’aéroport international de la Luano qui a été modernisé, à Lubumbashi (Haut-Katanga). La  piste d’atterrissage a été aménagée, la tour de contrôle construite et équipée ainsi qu’un bloc technique. Ces travaux ont été financés par la Banque africaine de développement et le gouvernement congolais, au travers la redevance Go Pass, pour un coût total de près de 65 millions de dollars américains.
Deux entreprises chinoises ont effectué ces travaux de rénovation, à savoir: China First et Sino- Hydro.
L’imposante tour de contrôle, qui vient d’être construite, mesure 29 mètres alors que l’ancienne n’avait que 15 m d’hauteur. Elle est dotée des équipements techniques modernes.
La piste de 3 250 mètres de long a été réhabilitée avec un nouveau système de balisage lumineux.
L’aéroport de la Loano est désormais équipé d’une centrale d’énergie électrique qui a des deux groupes électrogène de 500 Kva, chacun pouvant fournir un courant fiable.
Il y a en outre une caserne anti-incendie.
Du côté bloc technique, il y a notamment le Centre de contrôle régional, le bureau d’approche, le bureau piste, le bureau central de télécommunication ou le service météorologie aéronautique.
Le  tarmac de l’aéroport de Lubumbashi a été agrandi et avec sa  superficie de 33 000 m², sept gros porteurs peuvent y stationner sans difficulté.
Le directeur général de la Régie des voies aériennes (RVA), Abdallah Bilenge,  a annoncé qu’après l’aéroport de la Loana, le gouvernement vise celle de Bangboka, à Kisangani dans les jours à venir.
Pour sa part, le gouverneur Moïse Katumbi a demandé au gouvernement central de réhabiliter également les pistes d’atterrissage de Kamina et Kalemie.
L’aéroport de la Loana est rénové, un mois après celui de N’Djili, à Kinshasa.
Source: radiookapi.net

dimanche 26 juillet 2015

Athlétisme: Bolt sonne deux fois en 9 sec 87 à Londres.

Usain Bolt, vainqueur du 100 m du meeting de Londres, le 24 juillet 2015 (Photo ADRIAN DENNIS. AFP)
Usain Bolt, vainqueur du 100 m du meeting de Londres, le 24 juillet 2015 (Photo ADRIAN DENNIS. AFP)

La «Légende» du sprint Usain Bolt est bien de retour à un mois des Mondiaux de Pékin après avoir avalé le 100 m deux fois en 9 sec 87/100e en l’espace de 60 minutes, lors de la 11e étape de la Ligue de diamant vendredi soir à Londres.

Bolt, «back» mais pas encore «beautiful», a phagocité une réunion mal engagée avec une pluie battante qui a régressé en cours de programme, avant de s’effacer pour la finale de «Sa Majesté».
Dans ces conditions, une seule meilleure performance mondiale (MPM) de la saison a été établie, en clôture de programme par le Britannique Mo Farah sur 3000 m (7:34.66).
Et le concours de la perche, la piste d’élan étant inondée, a été reportée à samedi après-midi pour la seconde journée du meeting londonien.
Renaud Lavillenie empêché de sauter, Pascal Martinot-Lagarde a été le meilleur Français, deuxième du 110 m haies en 13 sec 22, un chrono à lire à l’aune d’un vent fortement contraire (-1,5 m/s) et de quelques fautes.
Co-détenteur du record d’Europe (9.86) du 100 m depuis trois semaines, Jimmy Vicaut a tenu son rang, en passant de la chaleur parisienne à l’humidité londonienne, en 9 sec 98, mais relégué néanmoins à la 5e place.
Bolt, absent de la compétition depuis le 13 juin pour des problèmes physiques au bassin, avec compensations sur la jambe gauche, a rassuré ses supporteurs et levé la plupart des doutes à son sujet.
Il a choisi le lieu, sur la piste même de son deuxième «triple sacre» olympique en 2012.
- Départ raté -
Techniquement, et pour ses deux courses, la première partie a été laborieuse, avec en finale un départ raté et un temps de réaction médiocre (173 millièmes de seconde).
La mise en action a été du même tonneau. Et contrairement à la série, quand il avait coupé son effort à 10 m de la ligne, le sextuple champion olympique a poussé jusqu’au bout. Il a finalement devancé, grâce à sa redoutable accélération, l’Américain Michael Rodgers (9.90) et le Jamaïcain Kemar Bailey-Cole (9.92).
Ce chrono est aussi un sacré bond en avant. Jusqu’à Londres, Bolt n’avait couru qu’un seul 100 m cette saison, en 10 sec 12/100e en avril à Rio, lors d’une exhibition à l’invitation du Jockey Club local. Ce qui en faisait le 62e performer de 2015. Inimaginable pour le pur-sang des stades.
Il lui reste désormais un mois pour grappiller encore quelques centièmes, dans l’optique d’un duel magistral aux Mondiaux de Pékin avec l’Américain Justin Gatlin, meilleur performeur mondial de la saison en 9 sec 74/100e.
Côté négatif, le faible écart enregistré avec Rodgers, nettement battu par Gatlin ces dernières semaines, ne plaide pas en faveur du recordman du monde (9.58).
«Avant tout, c’était une bonne course. Bien sur, je voulais courir plus vite, mais mon départ a été très pauvre. Tout a découlé de ça», a expliqué Bolt.
«J’ai besoin encore de travailler dur pour Pékin. Je dois encore faire des efforts, a-t-il ajouté. Je me sens bien physiquement. Si j’améliore mon départ, ce sera super. Je dois être plus régulier».
Même Glenn Mills, son coach, était satisfait de la «transition» de son poulain en série. Mais moins de sa perte de lucidité au départ de la finale.
«Tout est possible à Pékin. A l’entraînement, je ne fais pas cette erreur (du départ). Parce qu’il n’y a pas de pression et que vous pouvez exécuter tout ça en toute sérénité», a conclu le phénomène du sprint.
AFP