samedi 24 décembre 2011

Kinshasa: la vie nocturne, comme elle va en période électorale.

Du 25 novembre 2011, veille des élections couplées (présidentielles et législatives) au samedi 10 décembre 2011, les lampions de la ville de Kinshasa se sont éteints suite à la psychose ayant pris en otage les ambianceurs de Kin la belle. Les bars, terrasses, boîtes de nuit et restaurants se sont vus vidés de leurs clients habituels. Rares ont été les kinois qui se hasardaient après 22heures dans les rues de la capitale congolaise. Ceux qui ont le plus souffert de cette situation sont les tenanciers des restaurants et night club qui ont fermé pendant quasiment 10 jours. Beaucoup, même si tous ont ré ouvert depuis une bonne dizaine de jours, connaîtront un manque à gagner difficile à combler. Certains risquent de mettre la clé sous le paillasson, vu que la fin de l'année est synonyme de paiement des taxes annuelles. Les artistes musiciens ont également subi les travers de cette période assez particulière. Les groupes tels Zaiko de Nyoka Longo ou Wenge de JB Mpiana reprennent leurs productions ce week end. Le public sera t-il présent à tous ces lieux de divertissement et les rempliront-ils comme à chaque fin d'année? L'argent faisant défaut, même pendant la période de la campagne électorale, il nous est difficile de penser que le kinois ambianceur  saura défendre son statut en cette fin d'année 2011. Malgré cela, votre blog vous souhaites néanmoins de passer des joyeuses fêtes de fin d'année et vous incite à ne pas vous installer dans la morosité.  Regardons ensemble ces images d'archives de la télé nationale congolaise et dansons sur cette belle mélodie de cette chanson de Franco de mi amor Lokanga Lua ndju Pene Luambo Makiadi qui a pour titre "To yeba yo"

1 commentaire:

  1. DU N'IMPORTE QUOI!!!Les kinois et les congolais vont fêter quoi après 10 ans d'un pouvoir torpilleur et avilissant de l'imposteur-brigand avec ses collabos. Il faut être une caisse de résonnance comme votre RTNC pour tenir un discours aussi irresponsable que celui-ci. La roue de l'histoire vous écrasera tous sans pitié.

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